Pascal Irénée koupaki, leader du Rassemblement Nouvelle Conscience a été investi le week-end dernier, lors d’une grande cérémonie au cours de laquelle, il a levé le voile sur son projet de société pour un Bénin entreprenant et innovant. A l’analyse de cet ambitieux projet de gouvernance du Bénin, Pascal koupaki est décidé à mettre fin à la mauvaise gestion des affaires publiques et à l’impunité qui handicapent de façon tangible, le développement économique du Bénin. Car, ses qualités et son passé permettent d’être rassuré, qu’il n’y aura pas la continuité du système de gouvernance actuelle.

Pascal Koupaki est à n’en point douter l’homme de la rupture. Car, même pendant qu’il était au gouvernement, son approche et son sens élevé de responsabilité faisaient déjà de lui, la seule hirondelle qui annonçait le printemps. Le travail bien fait après de mures réflexions caractérisent son action. Pour preuve, nommé ministre en 2006, Pascal Irénée Koupaki a d’abord travaillé pendant 3 mois avec les membres du cabinet de son prédécesseur avant de procéder à des nominations, contrairement à la majorité de ses collègues qui avaient pris un décret pour balayer leur cabinet, la minute qui a suivi leur prise de service. Tous les différents collaborateurs de l’ancien premier ministre de Boni Yayi sont unanimes. Pascal Koupaki incarne, le respect du bien public. Il a été sous l’ère Yayi, l’un des rares ministres du gouvernement a ne pas être accusé d’avoir distraire les ressources publiques ou d’utiliser abusivement les moyens de l’Etat. Pendant les 7 années qu’il a passées au gouvernement, les comportements de Pascal Irénée Koupaki tranchent s’oppose à ceux de ses collègues ministres. Ces derniers sont champions dans l’organisation de meetings et regroupements politiques à la gloire de Boni Yayi ou encore, des messes d’action de grâce, pour maintenir leurs postes au gouvernement. Ce que Koupaki n’a pas fait. Parce que ses résultats témoignaient en sa faveur. En témoigne son bilan au niveau du ministère des Finances où il avait pris service avec 200 millions FCFA dans les caisses et en est reparti en laissant 3 mois de salaires dans les caisses publiques. Sa pondération et son sens élevé de responsabilité font de lui, un homme en qui les partenaires sociaux vouent une admiration et une confiance sans faille. C’est d’ailleurs pour cela qu’il a pu désamorcer de nombreuses crises sociales ou dénouer des situations compliquées entre gouvernement et syndicats. Pour l’élection du prochain président de la République, Pascal Koupaki est assurément, l’homme de la rupture qui sait sur quel levier tirer pour sortir le Bénin de sa situation actuelle. Son élection à la tête du Bénin est gage de rupture avec les mauvaises pratiques ayant caractérisé les dix dernières années de gouvernance au Bénin. Il n’y a aura donc pas de continuité.