Le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique était à la barre lundi 22 novembre 2021 du côté de la commission budgétaire de l’Assemblée nationale. Il y était sous la houlette de madame la ministre Eléonore Yayi Ladékan pour exposer et défendre les priorités de la prévision budgétaire gestion 2022 pour la dynamisation des offres de formations et la qualité du personnel enseignant. Pour la concrétisation de toutes ces ambitions, 71 milliards 522 millions 208 mille Fcfa ont été inscrits pour
Le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique était à la barre lundi 22 novembre 2021 du côté de la commission budgétaire de l’Assemblée nationale. Il y était sous la houlette de madame la ministre Eléonore Yayi Ladékan pour exposer et défendre les priorités de la prévision budgétaire gestion 2022 pour la dynamisation des offres de formations et la qualité du personnel enseignant. Pour la concrétisation de toutes ces ambitions, 71 milliards 522 millions 208 mille Fcfa ont été inscrits pour l’année 2022. . A la fin de cet exercice, la Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique a confié à la presse que ledit est de 71 milliards 522 millions 208 mille Fcfa.
Mme Eléonore Yayi Ladékan, Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique
« …C’est un budget que nous sollicitons auprès de la représentation nationale pour son autorisation pour ce qui concerne nos actions de l’année prochaine. En termes d’ambitions l’année prochaine, vous savez que le sous-secteur de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique a été un sous-secteur très en vue en ce qui concerne les réformes. Donc les actions du gouvernement ont été fortement représentées dans le projet de budget à travers déjà la fonctionnalité des conseils d’administration, à travers la qualité même des offres de formation dans leur dynamisation. Les offres de formations doivent désormais être attrayantes de façon à ce que les apprenants et les diplômés que nous sortons soient compétitifs. Chaque fois que nous finissons leurs formations, ils sont nombreux à se chercher et à chercher des points de chute. Donc, ce côté de dynamisation des offres de formation a été un point fort. Il y a également un point fort en ce qui concerne la qualité du personnel enseignant. Il faut que ce personnel enseignant soit accompagné et appuyé en renforcement de capacités surtout en matière de pédagogie. Il ne s’agit pas d’avoir juste le doctorat pour prendre en charge la formation de nos apprenants. Il faut être qualifié et nous avons constaté que cet aspect-là manque un tout petit peu. Nous allons donc mettre en place des modules de formation pour renforcer le personnel enseignant. Il en sera de même pour le personnel administratif qui est quasiment inexistant… ».
Mais les défis à relever en 2022 au niveau du Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique sont aussi d’ordre infrastructurel comme l’explique ici Mme Mme Eléonore Yayi Ladékan : « Pour ce qui concerne les infrastructures, il s’agit d’un point essentiel parce que sans infrastructure, sans dispositif technique, nous ne pouvons pas justifier une formation de qualité. C’est pour cela que nous avons prévu quelques actions d’infrastructures au niveau de notre budget… »
Des réponses aux préoccupations des députés
Au cours de la présentation du projet de budget de son Ministère, la Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique n’a pas manqué d’apporter des précisions à quelques préoccupations des députés. Elle a dans ce cadre expliqué ce que fait son département ministériel face à la question du harcèlement sexuelle en milieu universitaire, la sécurité des domaines universitaires, leur mise en valeur
21 milliards 439 millions Fcfa ! C’est le montant de la prévision budgétaire gestion 2022 du Ministère de la Justice et de la Législation pour 2022. Comparé au budget en cours, c'est-à-dire celui de 2021 qui est de 20 milliards 254 millions Fcfa, on remarque une hausse de 5,85%. Selon le Ministre de la Justice Sévérin Quenum, ledit budget permettra d’aller plus en avant dans à la dématérialisation d’un certain nombre d’activités, notamment la délivrance des actes pour permettre aux citoyens, en restant chez eux, de se faire délivrer rapidement les actes nécessaires à leur vie courante.
Le Ministre de la Justice et de la Législation Severin QUENUM
« Si ce budget nous est alloué, il nous permettra d’aller plus en avant dans tout ce que nous entreprenons pour l’amélioration non seulement de l’accès de nos compatriotes à la justice, mais également pour améliorer le sort des détenus de nos prisons, notamment construire de nouveaux tribunaux et renforcer le potentiel en ce qui concerne les établissements pénitenciers et surtout équiper nos services… » a déclaré à la presse parlementaire le Ministre de la Justice et de la Législation Severin QUENUM ce Lundi 22 Novembre 2021 juste après son passage devant les députés de la Commission budgétaire de l’Assemblée nationale. Nous avons regardé les performances réalisées au cours de l’année 2021 et nous nous sommes rendu compte qu’avec un peu plus d’argent, nous pouvons mieux faire. Le budget du ministère de la justice et de la législation fait moins d’un pour cent du budget général de l’Etat, mais ce n’est pas le montant qui est intéressant. C’est ce que nous en faisons qui importe. Sur cette base, nous avons l’intention d’améliorer l’accès à la justice. Améliorer l’accès à la justice avec la construction de nouveaux tribunaux et également permettre la mise en œuvre rapide des procédures et des décisions par l’équipement des juridictions. Il faut recruter du personnel pour permettre le bon fonctionnement de ces institutions
Le ministre Hervé Babalola Jean-Michel Abimbola n’a pas dérogé à la tradition en cette fin d’année comme on peut l’observer depuis des années. Lundi 22 novembre dernier, il s’est prêté à l’exercice annuel de présentation des grandes actions à réaliser dans les trois secteurs de son département ministériel au titre de la gestion 2022.
A la tête d’une délégation de cadres, techniciens, et directeurs, le Ministre du tourisme, de la culture et des arts a planché devant la Commission budgétaire de l’Assemblée nationale à Porto-Novo.
Ce lundi 22 novembre 2022, devant les membres de la Commission de l’Assemblée nationale, le Ministre Abimbola a commencé sa présentation par les réalisations financières et physiques de son département ministériel à la date du 30 septembre 2021. Des 43 730 982 000 FCFA alloués à ce Ministère en 2021, on retient au 30 septembre, une consommation à hauteur de 76,02% (base engagement) et 65,21% (base ordonnancement) contre respectivement 60,57% et 52,86% à la même période en 2020. Nonobstant les difficultés rencontrées dans l’exécution du budget gestion 2021, le Ministère a réalisé une kyrielle d’actions importantes qui ont été présentées aux députés qui ont salué les efforts du Ministère pour la concrétisation de la noble vision du Gouvernement pour le secteur du tourisme avec la culture et les arts.
Que comprendre du projet de budgétaire 2022 ?
Pour l’année budgétaire 2022, le budget prévisionnel du MTCA s’élève à environ 48 milliards 600 millions Fcfa, soit une augmentation d’environ 12%, dont 36 milliards de francs Cfa pour le tourisme et environ 10 milliards pour la culture et les arts. C’est un budget essentiellement d’investissement, selon les explications du Ministre. Il comporte une part de 88% consacrée au PIP. Ce qui témoigne de l’intérêt que le Gouvernement accorde aux secteurs du tourisme, de la culture et des arts au regard de leur potentiel de création de richesse et de réduction du chômage des jeunes. « C’est la preuve que le tourisme en lien avec la culture et les arts, continue d’être pour le Gouvernement des secteurs prioritaires et essentiels pour impulser le développement » a martelé le Ministre Abimbola interviewé par les médias au terme de sa présentation.
Il faut noter qu’au cours des douze prochains mois, le ministère du tourisme, de la culture et des arts entend poursuivre les travaux de réalisation d’infrastructures touristiques à Ouidah, Abomey, Ganvié, Allada, Porto-Novo, à Cotonou, Nikki et ailleurs, la mise en route d’un programme de renforcement des capacités des acteurs de la chaîne touristique et hôtelière ; la mise en tourisme rapide à travers la mise en place d’un cadre institutionnel et légal et des initiatives d’entretien des produits touristiques actuels ; l’intensification des actions de valorisation des sites, attraits touristiques et leurs voies d’accès, etc. Le budget permettra également d’implémenter les différentes réformes pour faire du tourisme, de la culture et des arts un pilier essentiel pour la création de la richesse et de l’emploi.
Pour ce qui concerne le secteur de la culture, il sera essentiellement question de la gestion des expositions des œuvres culturelles restituées par la France ; l’opérationnalisation effective des classes culturelles ; le démarrage de la construction des arènes culturelles ; l’élaboration de la stratégie nationale de développement de la culture et des arts ; le renforcement des capacités des professionnels du patrimoine culturel ; le démarrage de la numérisation des bibliothèques du Bénin ; la poursuite du financement des projets et initiatives culturels ; la poursuite de l’inscription des biens et éléments à inscrire sur les listes du patrimoine mondial, etc.
En 2022, le ministère en charge des petites et moyennes entreprises et de la promotion de l’emploi dont Modeste Kérékou hérite le portefeuille bénéficiera de 13 milliards 416 millions 935 mille Fcfasi les députés l’adoptaient. Ce budget sera essentiellement consacré à à la promotion et au développement des petites et moyennes entreprises ainsi que pour le secteur de l’artisanat. Donc pour 2022, le PSIE est reconduit. La loi 2020-03 du 20 mars 2020 par la prise de trois décrets d’application sera opérationnalisée. De plus, il y aura la poursuite des réformes dans le secteur de l’artisanat avec la fin du deuxième recensement des artisans qui est achevé.
Le Ministre Modeste Kérékou devant la presse parlementaire après la commission budgétaire fait le point
«Nous venons de sortir de notre séance de présentation de notre projet de budget pour la gestion 2022. Le budget du ministère en charge des petites et moyennes entreprises et de la promotion de l’emploi pour l’année budgétaire 2022 s’élève à 13 milliards 416 millions 935 mille Fcfa. Avant de détailler les actions phares qui sont prévues pour le compte de l’année 2022, les honorables députés membres de la Commission budgétaire ont souhaité que nous revenions un peu sur l’utilisation des crédits qui ont été mis à disposition pour le compte de l’année 2021. Nous avons rappelé que pour 2021, le budget du département ministériel dont nous avons la charge était élevé à 13 milliards 885 millions 625 mille Fcfa hors dépenses du personnel. De ces 13 milliards, nous avons détaillé devant la Commission budgétaire que quelques 6 milliards 298 millions 839 mille Fcfa étaient exclusivement dédiés au Programme spécial d’insertion dans l’emploi (PSIE) qui est un programme présidentiel et qui vise à faciliter l’insertion d’emploi de quelques 2000 jeunes par an où l’Etat paie pour venir en appui aux petites et moyennes entreprises, les salaires et tous les accessoires des jeunes diplômés dans ces entreprises. Dans notre budget de 13 milliards 416 millions 935 mille Fcfa de cette année, la même enveloppe est reconduite pour le même programme et pour les autres activités que nous aurons à mener relativement à la promotion et au développement des petites et moyennes entreprises ainsi que pour le secteur de l’artisanat. Donc pour 2022, le PSIE est reconduit. Nous allons opérationnaliser la loi 2020-03 du 20 mars 2020 par la prise de trois décrets d’application, poursuivre les réformes dans le secteur de l’artisanat avec la fin du deuxième recensement des artisans qui est achevé et pour lequel nous attendons dans les jours à venir, les chiffres définitifs qui nous seront transmis par les services de l’Agence nationale d’identification des personnes (ANIP) pour pouvoir enclencher la phase opérationnelle de l’organisation des élections devant conduire à la mise en place de la Chambre des métiers et de l’artisanat du Bénin. Sur le volet de l’emploi, j’ai indiqué aux honorables députés membres de la Commission budgétaire que dans un souci de rationalisation et de meilleure transparence dans les efforts que le gouvernement fournit pour la promotion de l’emploi, nous avons opérationnalisé le guichet unique de l’emploi tel que prévu dans le programme d’actions du gouvernement 2016-2021 ; ce qui nous a conduit à confier les missions et les attributions de certains anciens offices à l’Agence nationale pour la promotion de l’emploi (ANPE). Les réformes que nous menons vont se poursuivre sans désemparer. Les opportunités d’emploi sont toujours disponibles. Je voudrais profiter de cette tribune pour inviter les jeunes à toujours se rendre disponibles pour saisir les opportunités que le gouvernement met à leur disposition. En dehors du PSIE, nous avons en 2022 un programme spécial que nous appelons le ProSel qui est un projet de valorisation de la production du sel et qui prend en compte 5 Communes côtières à savoir Ouidah, Sèmè-Podji, Kpomassè, de Comè et de Grand-Popo. Nous avons la mise en œuvre du Projet d’inclusion social des jeunes qui a pour vocation de faciliter l’insertion de 25.000 jeunes dans l’emploi et cette fois-ci, ce sont des jeunes peu ou pas instruits avec le BEPC comme niveau maximum contrairement au PSIE qui concerne des jeunes qui ont des qualifications professionnelles (…) Le gouvernement du président Patrice Talon ne les a pas oubliés …
-Les préoccupations des députés et les réponses du Ministre
…Vous savez, les honorables députés sont très sensibles à la question de l’emploi des jeunes. Ils ont voulu savoir pourquoi malgré tous les efforts du gouvernement, ils ont toujours le sentiment que pas grand-chose n’est fait ; une préoccupation à laquelle nous avons répondu. De notre point de vue, c’est une injustice faite à notre gouvernement. Nous avons indiqué qu’à la lumière des chiffres qu’ils connaissent si bien d’ailleurs, quand on campe sur le premier quinquennat du président Patrice Talon (2016-2021), jamais dans l’histoire de notre pays, on a eu autant de grands travaux. J’ai rappelé des indicateurs précis. J’ai rappelé le projet de société du candidat Patrice Talon, transformé après son élection en Programme d’actions du gouvernement indiquait la création de 500 mille emplois. J’ai dit aux députés que selon les enquêtes de l’INSAE, déjà en 2019-2020, à plus d’un an de fin de ce premier quinquennat, nous avons déjà dénombré plus de 800 mille emplois créés, Nous avons le sentiment de vivre une profonde injustice et en dépit des différents efforts, ce sentiment d’injustice reste perceptible. C’est vrai que tant qu’il y a à faire rien n’est fait, mais quand on regarde de près et qu’on veut faire une étude comparée de tout ce qui a été fait par le gouvernement de 1960 à ce jour, sur une période de 5 ans, jamais autant d’opportunités n’a été offertes. J’ai rappelé les textes de lois que les députés ont aidé à voter comme la loi sur la promotion de l’investissement, la loi sur la promotion des petites et moyennes entreprises, la loi sur le partenariat public-privé, la loi sur les procédures d’embauche et de résiliation de contrat. Ce sont autant de mesures qui offrent des opportunités d’emplois… »
« Le projet de budget de l’année 2022 du ministère de la santé tourne autour de 98 milliards 100 millions Fcfa contre 91 milliards 800 millions en 2021 soit une progression de 6,7% qui porte sur les investissements dans les ressources humaines ; c'est-à-dire les recrutements que nous avons prévus pour 2022. Globalement, avec ce budget, nous allons opérationnaliser les réformes qui sont en cours au niveau du secteur de la santé et mieux asseoir encore la riposte contre le Covid-19, investir dans les infrastructures sanitaires aussi bien en terme de réhabilitation, d’achèvement de ce qui est déjà en cours notamment le centre hospitalier de référence d’Abomey-Calavi, en terme de réhabilitation des hôpitaux de zone départementaux qu’en terme de construction de nouveaux centres par rapport à la projection que nous avons sur la nouvelle carte sanitaire. Le point des ressources humaines ne sera pas occulté. Comme vous le savez, nous avons eu à recruter en 2021 plus de 1400 agents et en 2022 nous allons poursuivre la dynamique de recrutement avec également un renforcement des compétences et la formation des médecins spécialistes. Nous allons continuer dans le cadre de la riposte contre la pandémie du coronavirus, la construction des centres de traitement des épidémies notamment à Abomey-Calavi, à Natitingou, à Parakou, à Lokossa, à Porto-Novo, à Abomey (…) Nous avons également prévu de pouvoir prendre en charge les maladies prioritaires comme le paludisme, la tuberculose, le Vih/Sida sans oublier les hépatites. Au-delà de ça, la question de la transfusion sanguine est une question très importante et a été prise en compte par le budget. La question de la mère et de l’enfant y est également pris en compte. Evidemment, le volet assurance maladie est bien en place aussi bien en termes de plateau technique à mettre en place qu’en termes des investissements à faire au niveau des ressources humaines et des infrastructures…
-Les réactions des députés
…j’ai eu l’agréable surprise de découvrir des députés très préoccupés par les questions de santé. Ils ont eu à décortiquer l’ensemble du projet de budget qui a été soumis à leur appréciation. Ils ont posé beaucoup de questions par rapport à la construction des infrastructures, aux questions de ressources humaines aussi bien au niveau de la formation que de la répartition équitable sans oublier la motivation. Ils ont été très sensibles à la gestion de la pandémie du Covid-19 et ont eu à prodiguer des conseils (…) Nous avons pu leur apporter des éléments de réponses nécessaires pour les apaiser par rapport à la prise en compte de ces préoccupations par le gouvernement… »
74 milliards Fcfa dont 66 milliards pour le secteur de l’eau en 2022, c’est le montant du projet de budget du ministère de l’eau et des mines.
« Nous venons de passer devant la Commission budgétaire de l’Assemblée nationale pour présenter le projet de budget du ministère de l’eau et des mines qui se chiffre à 74 milliards Fcfa dont 66 milliards pour le secteur de l’eau, 6 milliards pour le secteur des mines et 2 milliards pour le pilotage et le soutien à tous les programmes à savoir le programme eau et le programme mine. Pour le programme eau, nous allons continuer ce qui est fait jusqu’ici, mais il faut souligner la particularité de 2022 qui sera l’année charnière pour tous les chantiers qui n’ont pas démarré. Les tout derniers projets en matière d’eau qui n’ont pas démarré vont démarrer au plus tard en juin pour les derniers sachant qu’à partir de janvier 2022 certains vont démarrer. A la fin de 2024, l’essentiel des projets aurait arrivé à terme pour permettre à tous nos compatriotes d’avoir accès à l’eau potable quel que soit l’endroit où ils se trouvent (…)
-Les réactions des députés.
…Les préoccupations des députés, c’est à quand les projets arriveront à terme ? Nous leur avons indiqué que l’échéance est 2024. Nous leur avons dit que nous sommes passés de 3 milliards à 6 milliards Fcfa pour le programme mine. Nous allons donc accentué les recherches que ce soit dans les mines solides ou dans les mines liquides avec des partenaires qui ont commencé par s’intéresser à notre pays. Quelques uns sont mêmes déjà installés en ce qui concerne le secteur minier pour l’or. Il y a d’autres qui s’annoncent pour le nickel, le chrome, le lithium, pour le fer et que nous allons au fur et à mesure installer pour permettre à notre pays de se hisser au rang des pays miniers de la sous-région comme le Burkina Faso, le Niger, le Mali et le Sénégal… »
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