Le 4 mars 2022, le ministre d’Etat chargé de l’Economie et des Finances et son collègue de la sécurité ont rendu public un arrêté interdisant l’activité dite « adôgbè » et toutes formes de collecte illégale de l’épargne publique par les structures non agrée en République du Bénin. L’information s’est répandue très vite dans le pays mais avec des interprétations dans tous les sens. Afin d’éclairer l’opinion sur le contenu de cet arrêté interministériel qui a semblée mal compris, la presse a eu un entretien avec Louis Biao, Directeur général de l’Agence nationale de surveillance des Systèmes financiers décentralisés (Anssfd).
Le 4 mars 2022, le ministre d’Etat chargé de l’Economie et des Finances et son collègue de la sécurité ont rendu public un arrêté interdisant l’activité dite « adôgbè » et toutes formes de collecte illégale de l’épargne publique par les structures non agrée en République du Bénin. L’information s’est répandue très vite dans le pays mais avec des interprétations dans tous les sens. Afin d’éclairer l’opinion sur le contenu de cet arrêté interministériel qui a semblée mal compris, la presse a eu un entretien avec Louis Biao, Directeur général de l’Agence nationale de surveillance des Systèmes financiers décentralisés (Anssfd).