Il y a de cela 7 ans naquit un creuset de professionnels des médias qui révolutionne le landernau médiatique béninois. Retour sur le parcours de la Fédération des Journalistes et Professionnels des médias du Bénin (FJPMB), l’une des associations les plus dynamiques dans le domaine des médias au Bénin.
À pas feutrés, la Fédération des Journalistes et Professionnels des médias du Bénin (FJPMB) se hisse à la cime des organisations les plus respectables dans le domaine des médias. Elle célèbre, ce lundi 11 mai 2020, ses 7 années d’existence. Que de combats, de peines, de joie et de victoires pour cette association de jeunes acteurs du monde de la presse. Le 11 mai 2013, de jeunes professionnels des médias s’étaient réunis à l’INFOSEC de Cotonou, pour la mise sur les fonts baptismaux de la Fédération des Jeunes Professionnels des médias du Bénin (FJPMB). Une dénomination qui sera muée en Fédération des Journalistes et Professionnels des médias du Bénin lors du renouvellement de son instance dirigeante, le vendredi 11 août 2017 pour faciliter l’adhésion de ces hommes des médias admiratifs de la FJPMB qui se considéraient comme exclus en raison de leur âge.
Au fil des ans, la FJPMB a fait du chemin, resserré les rangs, et surtout impacté la presse béninoise et ses acteurs. Au fronton des actions menées, on peut citer entre autres, la formation sur le team building, les formations de renforcement de capacités des membres, la mise en place d'une tontine-épargne-solidarité, la participation aux activités citoyennes notamment Ecorunning 5, la participation aux activités des organisations faîtières (trois membres de la FJPMB siègent désormais à la huitième mandature de l'ODEM), etc.
Assurer une relève de qualité
La FJPMB est née de la volonté de certains professionnels des médias qui, après analyse de leurs conditions de travail et de vie, ont décidé en bonne intelligence de fédérer leurs énergies, pour œuvrer pour une presse de qualité, une presse libre et responsable résolument tournée vers le développement. Depuis sept ans, les membres de la FJPMB se saignent aux quatre veines, pour marcher dans le sillage de leurs aînés, afin d'assurer une relève de qualité.