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«Le nombre d’enfants affamés, isolés, maltraités, anxieux, vivant dans la pauvreté ou contraints au mariage a augmenté. Parallèlement, leur accès à l’éducation, aux possibilités de socialisation et à des services essentiels tels que la santé, la nutrition et la protection a diminué. Tout indique que les enfants subiront les séquelles de la pandémie pendant des années à venir», a fait savoir la Directrice générale de l’Unicef, Henrietta Fore. C’est dire selon ladite fiche que depuis cette période, les dernières données disponibles de l’Unicef font apparaître une nouvelle réalité, dégradée et dévastatrice, pour les enfants du monde. C’est alors que l’impact est reparti sur 11 points essentiels dont : dans les pays en développement, la pauvreté des enfants devrait augmenter d’environ 15 %. D’après les projections, 140 millions d’enfants supplémentaires vivront au-dessous du seuil de pauvreté dans ces pays; pour plus de 168 millions d’élèves dans le monde, les écoles sont fermées depuis près d’un an; deux tiers des pays dont les écoles sont complètement ou partiellement fermées se trouvent en Amérique latine et dans les Caraïbes; au moins 1 élève sur 3 n’a pas pu accéder à l’enseignement à distance pendant la fermeture de son école; environ 10 millions de mariages d’enfants supplémentaires pourraient avoir lieu avant la fin de la décennie, ce qui compromettrait des années de progrès accomplis contre cette pratique; parmi les enfants et les jeunes, au moins 1 sur 7 a été soumis à des mesures de confinement pendant la plus grande partie des 12 derniers mois, ce qui est source d’anxiété, de dépression et d’isolement; en novembre 2020, dans 59 pays disposant de données, les réfugiés et les demandeurs d’asile ne pouvaient bénéficier des mesures de protection sociale liées à la COVID-19 en raison des fermetures de frontières et de la montée de la xénophobie et de l’exclusion.
Au regard de ces consequences, la première responsible de l’Uniceg recommandé que les enfants doivent être au cœur des efforts de redressement. Autrement, elle a expliqué qu’il faut donner la priorité aux écoles dans les plans de réouverture, fournir une protection sociale, y compris des transferts monétaires, aux familles et faire bénéficier de services essentiels les enfants les plus vulnérables. « Ce n’est que dans ces conditions que nous pourrons protéger cette génération afin qu’elle ne soit pas une génération perdue», a-t-elle préconisé. Lire ci-dessous la fiche d’information.
Fiche d’information
Un an après la déclaration de pandémie, quasiment tous les principaux indicateurs de l’enfance ont régressé annonce l’UNICEF
NEW YORK, 11 mars 2021 – Un an après que la COVID-19 a été qualifiée de pandémie, les dernières données disponibles de l’UNICEF font apparaître une nouvelle réalité, dégradée et dévastatrice, pour les enfants du monde.
« Après un an de pandémie de COVID-19, quasiment tous les principaux indicateurs de l’enfance ont régressé », déclare Henrietta Fore, Directrice générale de l’UNICEF. « Le nombre d’enfants affamés, isolés, maltraités, anxieux, vivant dans la pauvreté ou contraints au mariage a augmenté. Parallèlement, leur accès à l’éducation, aux possibilités de socialisation et à des services essentiels tels que la santé, la nutrition et la protection a diminué. Tout indique que les enfants subiront les séquelles de la pandémie pendant des années à venir. »
Voici l’impact de la pandémie de COVID-19 sur les enfants :
« Les enfants doivent être au cœur des efforts de redressement », déclare Henrietta Fore. « Cela signifie qu’il faut donner la priorité aux écoles dans les plans de réouverture, fournir une protection sociale, y compris des transferts monétaires, aux familles et faire bénéficier de services essentiels les enfants les plus vulnérables. Ce n’est que dans ces conditions que nous pourrons protéger cette génération afin qu’elle ne soit pas une génération perdue. »
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