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Fort de ses succès et de la qualité de sa formation
Le Groupe Cerco victime d’un lynchage médiatique (La justice saisie ; les auteurs demandent déjà pardon)


L’imminence de la rentrée académique 2016-2017 a déclenché une vague de calomnies et de médisance par médias interposés, contre le Groupe Cerco et son premier responsable, Docteur Alain Capo Chichi. Des allégations mensongères dénuées de tout fondement et dont le but est de ternir l’image de marque de cette prestigieuse école de formation, sont ventilées dans l’opinion par les adversaires de ce centre de formation. Un centre pourtant agréé par l’Etat et qui figure sur toutes les listes d’établissements privés en règle, publiées par le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique.
« Sincères excuses du journal au Docteur Alain CAPO CHICHI et au Groupe CERCO. Votre journal a été mis sur une fausse piste et sans le savoir a distillé de fausses informations dans l’opinion publique… . Ces publications sont mensongères et s’écartent à tout point de vue de la réalité… . ». C’est en ces termes que certains pourfendeurs du Groupe Cerco se sont confondus en excuses après avoir publié des informations dont la véracité n’est pas prouvée sur cet établissement qui forme des étudiants dans plusieurs filières de l’enseignement supérieur. Pourtant, malgré la reconnaissance de l’erreur par les responsables des premiers canaux de diffusion de fausses informations sur le Groupe Cerco, certains acteurs sous le couvert de médias non identifiables poursuivent la salle besogne. Mais, d’après les informations, les responsables du Groupes Cerco n’entendent pas laisser impuni les auteurs et commanditaires de cette campagne médiatique dont le but est de ternir l’image de marque de cette école qui a déjà livré sur le marché de l’emploi, des milliers de diplômés. Ainsi, des actions en justice sont déjà enclenchées contre les auteurs et commanditaires de cette campagne aux objectifs inavoués par les auteurs. La justice a même déjà commencé son travail et rendra dans quelques jours le verdict qui blanchira le Groupe Cerco et son Directeur Général. Car, le 27 Juillet dernier, certains auteurs et commanditaires de cette campagne médiatique de sabotage étaient appelés à comparaître devant les juges. D’après des responsables du projet Cerco, cette audience de fixation de caution, n’est que la toute première d’un périlleux feuilleton judiciaire qui fera mordre la poussière aux auteurs et commanditaires de cette campagne de dénigrement de l’image du Groupe Cerco et de son premier responsable. Vivement la justice !


 
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